Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : JULIEN CHAMPAGNE
  • : Site consacré à l'artiste français Julien Champagne (1877-1932), à sa vie et à ses oeuvres.
  • Contact

Profil

  • ARCHER
  • hermétiste
  • hermétiste


...consacré à l'artiste français Julien Champagne (1877-1932), à sa vie et à ses oeuvres.


Peintre et dessinateur, Julien Champagne est surtout connu de nos jours pour avoir illustré les ouvrages de Fulcanelli, un mystérieux alchimiste contemporain.

Et pourtant, il figure au Bénézit, la "Bible" internationale des créateurs. Et suivant son ami Eugène Canseliet, il fut bien un maître du pinceau et du crayon.

C'est à la découverte de cet artiste méconnu, mais profondément attachant, que je voudrais vous inviter. Je voudrais aussi vous demander de ne pas hésiter à enrichir mes articles de vos propres commentaires et de vos découvertes personnelles.

Bon voyage donc au pays légendaire de Julien Champagne.

Recherche

27 avril 2020 1 27 /04 /avril /2020 18:20

 

Chers amis et amies, en ces temps difficiles de pandémie, je voudrais d'abord partager avec vous une pensée pour tous ces malades, leurs proches, et tous ceux qui luttent pour préserver le maximum possible de vies.

En alchimie, la prière est sans doute capitale, elle est première et nos petits travaux subséquents de chercheurs (et d'auteurs) peuvent actuellement paraître parfois bien dérisoires. 

D'un autre côté, je me réjouis avec vous quand j'apprends de ci, de là, que tel(le) libraire, tel(le) éditeur restent malgré tout bien actifs dans notre domaine de prédilection, l'ésotérisme et bien sûr surtout l'hermétisme.

C'est ainsi aussi, dans l'action continuée des uns et des autres que nous pouvons engranger cet espoir dont le monde a tant besoin actuellement. 

Et donc je viens d'apprendre avec bonheur que notre ami portugais Walter Grosse vient le mois dernier de faire paraître au Mercure Dauphinois de Geneviève Dubois un nouveau petit livre consacré à Fulcanelli: Fulcanelli, Les zones d'ombre enfin éclaircies (2020).

Sans doute vous souvenez-vous, pour certains d'entre vous au moins, de son premier ouvrage sur le sujet: Le Puzzle Fulcanelli, aux éditions La Pierre Philosophale de Serge Goasguen, en 2011.

Il vient donc maintenant tout simplement, en une centaine de pages bien senties, autant le dire d'emblée, actualiser et préciser son point de vue sur l'identité de l'Adepte.

Avant d'entrer dans le vif du sujet, si j'ose m'exprimer ainsi, je m'en voudrais de ne pas en profiter pour vous signaler que sa passion alchimique s'étend aussi à un autre alchimiste célèbre, Nicolas Flamel, auquel il a en 2018 consacré un essai, en langue lusitanienne, cette fois: O vencedor da pedra pelo fogo (Manufactura).

Pour lui, si j'ai bien compris, Flamel est comme Fulcanelli un Philosophe par le Feu, dont l'identité civile serait restée cachée. Intéressante hypothèse, s'agissant de celle là encore d'un nomen mysticum, et j'ai hâte de pouvoir me faire une meilleure idée de sa démonstration sur ce point précis, notamment.

Sauf erreur de ma part, le nouveau livre de Grosse sur Fulcanelli est en fait une sorte de francisation d'une édition précédente (mais toujours dans notre langue), parue en Belgique chez Shop My Books en 2019, mais ceci est naturellement plutôt anecdotique.

Tout aussi naturellement, Walter maintient en 2020 comme en 2019 sa vision initiale de "l'énigme Fulcanelli": le Maître de Julien Champagne et d'Eugène Canseliet, l'auteur du Mystère des Cathédrales et des Demeures Philosophales n'est autre que Paul Decoeur, (1839-1923), un savant ingénieur qui reste connu quoique de renommée moyenne.  

Vous vous souvenez peut-être aussi que Grosse est quelque part l'initiateur de cette thèse, qui lui a valu le titre envié qui lui a parfois été décerné de "Champollion des études fulcanelliennes", avant d'être rejoint sur ce terrain par un autre de nos amis belges, un certain Filostène, lequel semble depuis quelque temps avoir choisi d'autres centres d'intérêt, notamment en astrologie.

C'est d'ailleurs un des points forts que je veux souligner maintenant du nouveau travail de Grosse; contrairement à d'autres, il ne feint pas d'ignorer les recherches de ses collègues, il les référence (belle bibliographie, au passage), il les cite, il les loue, ou les critique, mais on est là dans une démarche qui est à l'évidence sérieuse et cela mérite d'être mis en valeur.

Encore plus rare, pour prendre un exemple, il rejette certaines idées de notre complice Jean Artero, mais il en approuve d'autres. Exceptionnel même, il reconnaît à l'occasion avoir commis telle ou telle erreur (de détail, on s'en doute).

Une autre grande qualité que Walter Grosse manifeste ici est à mon sens que son livre répond exactement à son objet: sa structure est admirable de ce point de vue, la chronologie y est maîtresse, car il a bien compris que certaines dates sont incontournables dans ce dossier compliqué.

Et c'est à partir de ce moment, hélas que le bât blesse un tantinet. Decoeur est décédé en 1923, et selon Canseliet il a assisté en 1924 aux obsèques d'Anatole France avec Fulcanelli? Pour Walter c'est que Canseliet a menti par omission; il aurait dû préciser que Fulcanelli y était présent...par la pensée.

On aimerait d'ailleurs en savoir plus sur l'idée de Grosse que France aurait participé à l'élaboration de l'opus fulcanellien, mais poursuivons notre relevé chronologique, sans vouloir être complet, mais uniquement pour donner une idée de la façon dont Walter appréhende son affaire.

Qui a relu les projets d'édition des deux livres publiés de Fulcanelli, puisque Canseliet explique en avoir fait approuver la rédaction par Fulcanelli avant leur publication en 1926 et 1930 respectivement? Pour Walter Grosse, ce n'est pas Decoeur, bien sûr, ni même le beau-frère de Julien Champagne, Gaston Devaux, qui aurait pu servir d'intermédiaire sur ce point, non, ce serait un exécuteur testamentaire qu'il ne nomme pas mais qui pour lui n'est manifestement pas Eugène Canseliet.

Qui dit exécuteur testamentaire dit testament, mais si notre estimable fulcanelliste en affirme l'existence, c'est sans autre précision, là encore.

On l'aura compris, si une fois de plus des documents sont produits, et cela aussi est à mettre au crédit de Walter, aucun n'est de nature à prouver l'identité Fulcanelli-Decoeur. Au contraire, nous pouvons relever des interprétations surprenantes: Fulcanelli, dixit, Canseliet, n'aimait pas écrire, et Decoeur n'a semble-t-il pratiquement pas publié, donc...

Mais ce qui m'a un peu chagriné dans cette démarche dont on peut par ailleurs estimer la constance, c'est la persistance avec laquelle Grosse met en doute la parole d'Eugène. Il n'hésite pas à produire, même, un courrier de François Beauvy (un biographe de Philéas Lebesgue, ce dernier étant un proche de Canseliet) où Beauvy traite Eugène Canseliet d'affabulateur.

A l'inverse, Walter Grosse semble accorder crédit à l'opinion du Britannique Kenneth Rayner Johnson, selon lequel si Canseliet a bien revu Fulcanelli en Espagne alors que l'Adepte avait 113 ans et que pour certains l'Adepte se serait manifesté à lui sous une apparence féminine, c'est peut-être qu'il était un travesti...

 

Plus sérieusement, plus gravement même, il m'a semblé après avoir lu et relu ce beau travail que notre Walter a une difficulté qu'il a du mal à surmonter avec la notion de survie possible de l'Adepte.

Pour lui, Decoeur-Fulcanelli est mort en 1923, donc Canseliet n'a pu le revoir une trentaine d'années plus tard à Séville. 

Il emploie parfois l'expression L'Autre Monde, mais l'impression qu'on a en le lisant c'est que pour lui cet Autre Monde cher notamment à de Cyrano Bergerac n'est pas réel; en fait il l'écrit: c'est un mythe.

Donc on me semble assez loin avec tout cela de la conception fulcanellienne de l'alchimie. Je recommande par conséquent plutôt la lecture ce brillant essai aux amateurs déjà bien au fait du "dossier Fulcanelli". Pour les autres, probablement faudrait-il plutôt commencer par le Fulcanelliana de Jean Artero (éditions Arqa de Thierry Emmanuel Garnier, 2017), pour disposer d'entrée de jeu d'une vue d'ensemble de la question fondamentale qui nous est posée :

https://www.eklectic-librairie.com/arqa59-artero-jean-fulcanelliana-fulcanelli-la.html

Et sur ce dossier et en particulier sur la notion d'Adeptat, mais aussi sur le merveilleux de l'alchimie et la tradition alchimique en général, je me permets de vous recommander aussi, avant de vous quitter pour cette fois, un petit entretien d'une paire d'heures réalisé en 2018 grâce notamment à feu Christophe de Cène, Bernard Renaud de la Faverie, Jean-Claude Pascal et Fabrice Milocheau. Disparu un temps de Youtube, après 14000 vues tout de même, il vient de réapparaître: 

https://lalchimieauquotidien.wordpress.com/2018/11/03/conference-paroles-dalchimistes-fulcanelli-adeptes-filiations/

Une sorte de petit miracle, en somme. On en a bien besoin en ce moment. Prenez soin de vous, et à bientôt j'espère.

ARCHER

Partager cet article
Repost0

commentaires

E
Je me joins aux commentaires des autres.<br /> <br /> Cela semble être l'une des nombreuses théories dans lesquelles vous recherchez une personne née en 1839 et qui pourrait être liée à une personne proche de Fulcanelli, sans aucune autre preuve.<br /> <br /> Si nous donnons de la crédibilité aux paroles de Canseliet concernant l'histoire qu'il nous a racontée sur la mort de sa grand-mère en 1919, nous devrons donner de la crédibilité au reste de ses paroles. Dans le même livre de ce récit, Le Feu Du Soleil, Canseliet nous apprend également que Fucanelli a révisé l'écriture finale de ses livres en 1925 (page 71).<br /> <br /> À propos de l'histoire de Séville en 1953, qui est également dans Le Feu Du Soleil, il ne dira rien. Ces données sont ignorées par tous les auteurs.<br /> <br /> Dans L'alchimie et son livre muet, Canseliet nous raconte comment Fulcanelli résout le hiéroglyphe de Lallemant vers 1926.<br /> <br /> Dans La Tourbe des philosophes, qui est mentionnée sur ce site, Canseliet a assisté avec Fulcanelli aux funérailles d'Anatole France en 1924.<br /> <br /> Mais toutes ces données ne correspondent pas à un Paul Decoeur décédé en 1923, et il ne commente sûrement rien de tout cela.<br /> <br /> Il me semble lire qu'il fournit également la preuve des paiements à l'éditeur Schemit et qu'ils pourraient provenir des deux éditions de Fuclanelli en 1925 et 1929. Et des éditions de 1957 et 1958? Qui les a payés?<br /> <br /> L'identité de Fulcanelli a déjà été résolue dans le livre The Identity of Fulcanelli, de Javier Corzo. Il y aura bientôt une deuxième partie du livre avec de nouvelles preuves.
Répondre
E
Merci Archer!
E
Je corrige mon mauvais français.<br /> Oui, j'ai ce livre dans ma bibliothèque. Artero fait un excellent travail de compilation et de résumé des différents auteurs. Un livre de référence utile. Je suis désolé de dire, à mon avis, que dans le chapitre consacré à la théorie de Javier Corzo ce n'est pas si correct. Il met en évidence plusieurs points comme étant les plus importants, bien qu'il y en ait d'autres plus remarquables qui ne les mentionnent pas.<br /> <br /> Plus tard, après avoir décrit plusieurs tests qui correspondent à Fulcanelli, il soulève deux objections. L'une concerne, encore une fois, l'âge de naissance. Artero commente littéralement:<br /> ¨Javier Corzo passe donc totalement sous silence, dans cette analyse, le fait que pour son disciple Eugène il serait né en ou vers 1839, et que son vrai nom figure quelque part dans un registre de baptême ou d'état-civil français...¨. Jean Artero (2017) Fucanelliana.<br /> C'est incompréhensible. Depuis le livre consacre une page entière à cette question. De la même manière, en ce qui concerne la nationalité française, c'est aussi un sujet largement traité dans le livre. Je pense qu'Artero n'a pas fait une lecture attentive du livre.<br /> <br /> De la même phrase, nous voyons qu'Artero indique: ... né vers 1839, ... ce qui est totalement contraire à ce que Canseliet nous a dit quand il a indiqué "très exactement": "J'ai répondu que j'avais quatre-vingts ans, très exactement. juste mon âge!" . Robert Amadou (1978) Le Feu du Soleil.<br /> <br /> Nous savons déjà que la grand-mère de Canseliet est décédée à l'âge de 79 ans, nous devons donc penser à un jeu de mots Canseliet. Non, Canseliet ne s'est pas levé ce jour-là pour donner la date de naissance de Fulcanelli. Il ne s'est jamais exprimé de cette façon et ce jour-là n'a pas fait exception. Une lecture que vous pouvez donner est une personne décédée au même âge que la grand-mère, à 79 ans. Et qu'il aurait eu des années avant sa mort, ce serait «très exactement».
A
Merci, Enrique de ces remarques toutes plus intelligentes les unes que les autres; je recommande pour ma part à chacune et chacun la lecture et du livre de Corzo sur Fulcanelli et de celui d'Artero qui mentionne Corzo, car dans ce dossier épineux il me semble qu'il convient d'avancer prudemment, tant les questions en suspens restent pour l'instant plus importantes que les réponses apportées (souvent de bonne foi et après une étude sérieuse) par les uns et par les autres.
E
Oui, j'ai ce livre dans ma bibliothèque. Artero fait un excellent travail de compilation et de résumé des différents auteurs. Un livre de référence utile. Je suis désolé de dire, à mon avis, que dans le chapitre consacré à la théorie de Javier Corzo ce n'est pas si correct. Il met en évidence plusieurs points comme étant les plus importants, bien qu'il y en ait d'autres plus remarquables et remarquables qui ne les mentionnent pas.<br /> Plus tard, après avoir décrit plusieurs tests qui correspondent à Fulcanelli, il soulève deux objections. L'une concerne, encore une fois, l'âge de naissance. Artero commente littéralement:<br /> ¨Javier Corzo passe donc totalement sous silence, dans cette analyse, le fait que pour son disciple Eugène il serait né en ou vers 1839, et que son vrai nom figure quelque part dans un registre de baptême ou d'état-civil français...¨. Jean Artero (2017) Fucanelliana.<br /> Ce qui est déjà incompréhensible le livre consacré à une page entière sur le sujet de l'âge. De même, en ce qui concerne la nationalité française, il intervient également plusieurs fois dans le livre. Je pense qu'Artero n'a pas fait une lecture attentive du livre.<br /> De la même phrase, nous voyons qu'Artero indique: ... né vers 1839, ... ce qui est totalement contraire à ce que Canseliet nous a dit quand il a indiqué "très exactement": "J'ai répondu que j'avais quatre-vingts ans, juste mon âge" . Robert Amadou (1978) Le Feu du Soleil.<br /> Nous savons déjà que la grand-mère de Canseliet est décédée à l'âge de 79 ans, nous devons donc penser à un jeu de mots Canseliet. Non, il se peut que Canseliet ne se soit pas levé ce jour-là pour donner la date de naissance de Fulcanelli. Il ne l'a jamais exprimé de cette façon et ce jour-là ne fait pas exception. Une lecture qui peut être donnée est une personne décédée au même âge que la grand-mère, à 79 ans. Et s'ils s'étaient récemment rencontrés avant sa mort, cela conviendrait "très exactement".
A
Cher Enrique, merci de votre intervention. S'agissant de la thèse de Corzo, qui mérite comme d'autres d'être examinée, je me permets de vous renvoyer au Fulcanelliana d'Artero.
B
Bonjour Archer, la question que je me pose est la suivante : pourquoi Geneviève Dubois après avoir écrit Fulcanelli dévoilé en 1992, (que je qualifierait plutôt de Fulcanelli dénigré )et avoir suggéré que la personne Fulcanelli était le résultat d'une machination ourdit par Champagne et Canseliet, éprouve t elle le besoin d éditer cet ouvrage puisqu' elle est persuadée d'avoir tout compris au sujet du "mystére Fulcanelli" et ce plus de trente ans aprés...? Mystère et boule de gomme aurait dit ma grand mère.....Enfin, publier sur Fulcanelli fait vendre du papier......et de l'endroit ou il se tient cela ne doit pas manquer de grandement divertir l'Adepte.....Portez vous bien.
Répondre
B
Je le redis, puisque mon commentaire s'est effacé.<br /> <br /> Merci à vous monsieur Chauvière, pour démontrer avec brio, la vénalite de Geneviève Dubois, ainsi que son indigence. Indigence qu'elle partage avec ses amis de Grenoble.
A
Cher Bernard, nous nous rejoignons au moins sur un point: la thèse de Grosse (Fulcanelli est Decoeur) contredit celle de Dubois en tant qu'auteur (Fulcanelli est un collectif). Ceci dit, Dubois a comme éditeur le droit de publier un auteur qui ne partage pas son opinion personnelle, me semble-t-il. Portez-vous bien également.
K
Pourquoi les commentaires sont-ils supprimés?<br /> Il y a deux commentaires qui ont été trouvés ici hier et qui ne sont pas ici aujourd'hui.
Répondre
A
Je ne sais pas; peut-être une mauvaise manip, désolé.
M
"Il (Fulcanelli) n'est plus là. Il est sur la terre, mais c'est le Paradis terrestre. Qu'est-ce qu'il fait maintenant ? Je n'ai rien vu. Je l'ai vu en arrivant, quand il m'a reçu en complet-veston/... / Et puis, je l'ai vu quand je travaillais au laboratoire. Il est venu me voir où je travaillais, au laboratoire, et je l'ai vu, je l'ai vu deux fois."
Répondre
A
Merci encore, Monica, ce sont des précisions utiles.
M
Le Feu du Soleil, page nº 121, Éditions Jean-Jacques Pauvert, 1978. Merci
A
Merci, Monica. Référence, SVP, de ce propos de Canseliet?
A
Rappel d'un commentaire de W. Grosse : "Je sais qui était l'homme derrière l'hétéronyme Fulcanelli et son secret se cache parmi les hyperchimistes de l'époque." Le tout venant après avoir évoquer l'ingénieur des ponts et chaussées Claude Clavenad. On peut se demander si Walter croit lui même en la thèse Decoeur.
Répondre
A
C'est une question sensée, Ano; merci de la poser. Je ne peux y répondre pour ma part, même s'il me surprendrait que Walter démente Grosse.