Chers amis et amies,
J'ai à nouveau l'immense plaisir de vous faire part de la parution prochaine d'un nouvel ouvrage de notre "Hubert".
Grâce à Bernard Allieu et aux éditions des 3R, à qui nous devons déjà la publication de La Vie Minérale de Julien Champagne (1908), déjà pratiquement épuisée en ce qui concerne du moins l'édition originale, voici que son travail de 1913 sur le manuscrit Yardley nous est annoncé pour la fin janvier 2015:
Elle sera présentée par Alain Marchiset, expert réputé en livres anciens, notamment en ouvrages d'ésotérisme. Sa librairie en ligne L'Intersigne est au demeurant depuis bien des années connue des amateurs:
http://www.livresanciens.eu/shop/anciens/index.html
Quant à votre modeste serviteur, il a eu la joie de pouvoir postfacer ce livre, aussi beau qu'utile, en compagnie de son compère Jean Artero, dont vous vous souvenez sans doute qu'il vient de publier une substantielle biographie de l'"apôtre de la science hermétique":
http://www.amazon.fr/Julien-Champagne-Ap%C3%B4tre-Science-Herm%C3%A9tique/dp/2356620737
Pour en revenir au Yardley lui-même, il ne vous est certes pas totalement inconnu, puisqu'il en a déjà été question ici-même, il y a déjà quelque temps:
http://www.archerjulienchampagne.com/article-25758488.html
La souscription en est déjà ouverte, jusqu'à fin décembre apparemment, et le tirage prévu nous est précisé être pour l'heure de quelque 500 exemplaires.
Gageons qu'il sera lui aussi rapidement entamé...
Un bonheur n'arrive jamais seul, nous dit l'adage, c'est un peu l'antithèse finalement de la loi de Murphy.
Nous avons donc appris récemment qu'une conférence de Jean Artero sur Julien Champagne se prépare en Atlantis pour le mois de mars 2015, même si elle n'est pas encore "officiellement" annoncée sur le site de cette association:
http://www.atlantis-site.com/paris.php
Le cliché que nous vous en soumettons ci-dessous n'engage donc que moi.
Je vous souhaite d'excellentes fêtes de fin d'année 2014, et espère pouvoir vous dire à bientôt au beau pays de Julien Champagne.
Bien à vous,
ARCHER